Qui sommes-nous ?
Créé en 2020, le fonds de dotation Géo J’aime a pour mission de soutenir et développer différents projets scientifiques, culturels et éducatifs qui assurent la promotion de l’information géographique, de son intérêt et de ses usages, auprès d’un public non initié, en particulier les jeunes de 8 à 12 ans.
Géo J’aime réalise sa mission en poursuivant deux actions :
- un soutien à des projets œuvrant dans le champ de l’information géographique ;
- la création de contenus pédagogiques afin de sensibiliser les jeunes à l’intelligence géographique.
Ces contenus sont diffusés à travers plusieurs canaux :
- via le site geojaime.org
- par la rencontre du public lors de différents salons et manifestations
- par le biais d’interventions en classe. Celles-ci proposent une approche ludique et interactive pour réviser ou aborder des thèmes inscrits au programme scolaire, tout en mobilisant les concepts de l’information géographique.
Le fonds de dotation Géo J’aime a été créé et est présidé par Rony Gal, fondateur et ancien président d’ESRI France.
Le mot du fondateur
Rony Gal, fondateur et président de Géo J’aime, fondateur et ex-PDG d’ESRI France
Pour y parvenir, la géographie s’avère un allié indispensable. Mais les cartes ne sont rien sans la capacité à collecter, organiser et analyser les données qui les sous-tendent : c’est ce qu’on appelle l’intelligence géographique.
Je suis convaincu qu’il faut sensibiliser les plus jeunes à l’intelligence géographique. Pour eux, il s’agit de découvrir et de comprendre notre monde, pour être plus tard en capacité de mieux agir, en prenant en compte notre environnement de plus en plus fragile.
En créant le fonds de dotation Géo J’aime, je souhaite accélérer la prise de conscience du rôle essentiel de l’information géographique dans notre quotidien et sensibiliser les plus jeunes à ses nombreux usages ainsi qu’aux métiers qui émergent dans ce domaine.
En développant avec Géo J’aime des contenus pédagogiques pour les plus jeunes et les professionnels de l’éducation, j’espère démocratiser l’information géographique, pour rendre le métier de géomaticien aussi proche des enfants que celui de boulanger, pompier ou médecin. »